Kôsuke se présente o/

Nom: Aucun pour le moment
Prénom: Kôsuke
Âge: 17 ans
Pays: Kiri
Code: Aiku Valide !

.| Physique |.

Physiquement, je ne suis pas comme les autres ninjas. J’ai plutôt une allure de jeune homme, et non de mec mature. J’ai le crâne rasé avec le strict minimum de cheveux qu’il me faut pour avoir chaud au crâne, soit trois millimètre de cheveux. J’ai les yeux de couleurs noisette et une cicatrice au niveau de l’arcade. Ce qui est bizarre, en revanche, c’est que je suis assez petit de taille mais mes muscles, eux, sont plutôt grand. Ca fait plutôt bizarre lorsqu’on me voit nu, vous me direz, il y a que moi qui me vois nu… Pour cacher cette sorte de mal formation, je porte un grand Kimono noir, avec une corde autour de la taille, qui maintient également mon katana.

.| Mentale |.

Mentalement, je suis normale, comme vous. Bon, je dois l’avouer, je peux avoir des réactions perverses, complètement dérangé mais je reste agréable quand même. J’adore faire des critiques. On me dit, à chaque fois que je critique les autres et moi, je leurs réponds que je constate seulement. Sinon, bah, je peux dire que je suis assez courageux et non trouillards. Après, je suis très paresseux, il m’arrive que je m’assoupis pendant une mission, histoire de flâner en sifflotant mais bon, je suis comme je suis. C’est brouillon pour ma description mentale, je vous l’accorde, mais vous pourrez voir que mon humeur change tous les jours, chaque heures même. C’est ma mentalité quoi…


.| Une vie plaisante |.

Un paysage paradisiaque, une eau éclatante, une herbe verdoyante, quoi de plus magnifique que Kiri en plein été ? Rien, il fallait l’avouer. J’étais assis en tailleurs sur un dès quais de Kiri, canne à pêche à la main. Je ne pêchais pas, je trempais juste la ligne dans l’eau. Une herbe à la bouche, je marmonnais à douce voix une chanson qui me libéra complètement. Un sorte d’anti-stresse, on va dira ça comme ça. Je me vidais totalement l’esprit, même les « hop-hop » des marchands pour faire avancer leurs « caravanes » marchandes ne me dérangeaient pas. Le pays semblait calme, c’était une bonne chose. Les enfants jouaient aux ballons. Ils pratiquaient un sport spécial, un hobby qui se répandait très vite dans le Pays. C’est alors que je me levais. Je partis en direction du village où on m’attendait, on devait m’annoncer un truc quoi. Surement quelque chose qui n’avait aucune importance. Je marchais tranquillement, empruntant les ruelles. Ca faisait plaisir d’y marcher. On voyait les gens rayonnant, sans ce soucié des guerres, des stratagèmes politiques. Tout ça grâce au Mizukage, c’était chouette.

Quelques minutes passèrent et j’étais arrivée à l’endroit où la réunion était fixé. C’était le Palais du Mizukage. Et pourtant, il n’y avait que moi. Au loin, à côté d’un pilier orné de décoration, une porte était ouverte, un brouhaha venait faire des échos jusqu’à ma position. Je fis mon curieux, j’allais voir ce qu’il s’y passait. Et « Bam ». C’était là, mon rendez vous. Heureusement, je n’étais pas arrivé en retard. Plusieurs Genin étaient là, avec moi. Tout le monde parlait, moi pas. Je n’aimais pas l’ambiance. Puis tout à coups, rien. Un Juunin apparut, dans une épaisse fumée, au milieu de la scène devant nous. Il portait une grande cape noire, ne montrant pas sa tête. Il étira une liste, et cita quelques noms. Le miens, Kôsuke, en fit partis. Et là, c’est le dram.

« Vous êtes prêt sélectionner pour les examens Chuunin. Ce n’est pas un examen rassemblant les villages voisin, mais bien un examen pour les ninjas de Kiri. Et seulement vous. Sans le savoir, vous avez tous été sélectionné pour la finale. Les règles vous seront données le jour J. »

Et il continua son discours, chiant, long, répétitif. Bref, quarante pages de discours pour nous dire au bout de la première ligne qu’on participe à un examen Chuunin. Vive l’économie de papiers, quoi…


.| La grande finale commence |.

Enfin, le jour « J » commença. Tous les sélectionnées étaient présent. Nous nous étions rassemblée pour entendre les règles. Certains stressée, d’autre non. Pour ma part, j’étais pile au milieu. J’appréhendais légèrement sans vraiment me soucier de ce qui allait se passer. La salle où nous nous trouvions était vide, froide, insignifiante. Le juunin apparut devant nous, encore une fois. Ce n’était pas le même, heureusement. Lui, portait un bandeau de Kiri sur son bras, son visage recouvert d’un masque. Etrange mais bon… On n’est pas un village de taré pour rien, hein.

« Les règles sont simple. Vous allez affronter des Chuunins expérimentés. Voir même Juunin pour certains. Il y aura plusieurs groupes. Un groupe affrontera un groupe, ainsi de suite. Une fois les duels finies, vous serez rassemblé devant le Mizukage en personne, pour ceux qui auront le privilège de devenir Chuunin. Il va s’en dire que vous devrez mettre vos adversaires K.O bien qu’il y aura une limite de temps. Vous avez des questions ? »

Personne ne prit la peine d’en poser, même pas moi. Je trouvais ça chiant de poser des questions, ca servait à rien. Il appela cinq Genin. Tous sont revenus au bout de quelques minutes. Et les groupes passèrent, et tout le monde revenaient, cassé en deux. Géniale l’examen.

« C’est à vous maintenant. Vous êtes les cinq derniers. Je vous souhaite du courage, vous affrontez des Juunin. Dire que les autres n’ont affrontée que des Chuunin… »

C’était rassurant, mais vous ne pouvez pas imaginer. Et ce crétin qui part en rigolant. On s’approchait tous aux niveaux de la porte. Elle s’ouvrit et on partait tous au niveau de l’arène. Un arbitre, des Juunins. Voilà à quoi ressemblez l’examen. Bon, après, il y avait des civils en tant que spectateur mais bon, ca ne comptait pas. On prit le temps de se rassembler une nouvelle fois. Et là, je pris la parole.

« Bon, je suis pas un leader, loin de là mais en terme de plan, je m’y connais. On sait déjà que c’est des Juunin, ce qui veut dire que seul ou en groupe, on sera désavantagé. En revanche, ils ne nous connaissent pas. On n’est la nouvelle génération, celle qui va leurs foutres en retraite le pied au cul. Ce qui faut, c’est les séparer et les surprendre. Explosif ou autre, je m’en fiche, mais moi, c’est ce que je ferais. A vous de voir. »

Et j’arrêtai là. J’eue quelques merci pour les exemples, bref, de plan tactiques. Oui… On va bien voir ce qui va se passer. L’arbitre demanda à tous le monde si nous étions prêts. Et il abaissa la main. C’est partie, la finale venait de commencer. La foule était en délire, c’était incroyable de voir ça. Je courus vers un arbre prenant fermement mon Katana dans ma main. Arrivez au tronc de l’arbre, un Juunin apparut derrière moi. Un sourire s’étendait jusqu’au coin de mes lèvres, signe de satisfaction. Sautant sur le tronc d’arbre, je fis pivoter mon pied pour faire une acrobatie. Prenant en même temps deux shurikens, j’apparus derrière le Juunin déconcerté et les envoyai vers ce derniers. Et « Paf, un Juunin de moins. » La preuve qu’ils nous sous estimaient, ils n’avaient pas pris la peine de faire un clône. Le publique était en délire complet suite à mon action. Et le temps passa vite, très vite, trop vite. Le temps s’était écoulé, nous n’avions pas pu mettre tous les Juunin hors état de nuirs. En revanche, tous les Genin de mon groupe étaient debout. Essoufflé mes debout. Le public cria et les applaudissements explosèrent. Et là « Bam ». Je m’étais éclaté par terre. Sans aucune raison… Et je m’étais réveillé quelques jours plus tard. Avec un rapport de mission à accomplir. Ouai, j’étais Chuunin... Une infirmière vint prêts de moi. Et moi, je murmurais…

« T’inquiète, j’ai le feeling baby. »